Commentaire de Bernard Anger
La palette change, elle s’embrase. On est dans l’étroit couloir de l’existence, membrane très fine au bord de la rupture L’image est profonde.
Ce corps démembré qui malgré tout tient debout par la force intérieure spirituelle est-il masculin ou féminin ? Les deux probablement par les signes présents sur le torse et entre les jambes. L’humain en quelque sorte.
Morgan semble avoir trouvé une paix intérieure, sa peinture est réfléchie, apaisée, sa palette délicate, je suis fier de son travail. Je l’embrasse
Pépé, le 13 octobre 2020